En 1979, Charles Boileau est évincé de la direction de la GLC. Il ne détient donc plus les actions de L'Est républicain bien qu'il soit toujours à la tête du journal. Il tente de racheter la GLC avec l'aide de la Compagnie française de communication pour éviter que l'entreprise ne le soit par Le Républicain lorrain. Auquel cas, il n'aurait plus la possibilité de diriger L'Est républicain. Pendant ce temps Gérard Lignac (qui tient l'autre majorité des actions de L'Est républicain) s'est associé à la GCL afin de s'assurer la direction de L'Est républicain. En effet, en 1982, la GCL est finalement rachetée par Le Républicain lorrain : les actions de L'Est républicain le sont donc aussi.